Il est aussi dit que « le second d’entailler les érables est déterminé par l’apparition de l’oiseau de sucre ». L’oiseau de sucre est le nom familier qui est donné au plectrophane des neiges , anciennement appelé bruant des neiges. Il passe l’hiver à chercher de la nourriture dans les espaces ouverts d’une grande partie du Québec. Le printemps venu, cette espèce doit repartir vers le Grand Nord afin d’aller s’y reproduire.
Parmi celles-ci, il faut signaler la légende de Nokomis , une héroïne qui aurait été la première à percer des trous dans le tronc des érables. (Ouvrir souvenirs – Cabane à sucre) Imprimez cette nouvelle page pour chaque enfant. Demandez-leur de dessiner leur plus beau souvenir à la cabane à sucre. Il vous faudra de la peinture brune et un papier pour la peinture aux doigts.
C’est une période de réjouissance souligné par des excusions dans les « cabanes à sucre » ou il est de tradition de goûter à la sève sucré de l’érable, de déguster la tire sur la neige et bien d’autre mets agrémentés au sirop d’érable. La collecte de la sève des érables est une activité importante chez les Autochtones qui lui attribuent notamment des vertus médicinales ou énergisantes. Dès la fin du XVIIesiècle, l’utilisation de chaudrons facilite la production de sirop et de sucre d’érable. Par différents moyens, cette eau d’érable est recueillie et acheminée vers un contenant où elle est bouillie en vue d’être transformée en sirop ou en sucre. Pendant des siècles, ce processus a reposé sur des connaissances empiriques acquises par observation et expérience pratique. C’était une rude besogne dans une sucrerie non encore organisée et où tous les transports devaient se faire à bras.
On pensait donc que ce travail prenait du temps et que l’absorption de ce glucose était donc lente et progressive. C’est pourquoi les « sucres complexes » furent appelés « glucides d’absorption lente » ou « sucres lents ». Une scenario qui ne serait pas étrangère à cette nouvelle reconnaissance, croit la directrice des communications corporatives des PPAQ, Hélène Normandin.
Que ce soit pour le BRUNCH de 10H, le DÎNER de 13H ou le SOUPER de 18h30. Guy Carbonneau, propriétaire de l’érablière Carber, à Coaticook, Hermine.Ca insiste également pour dire que la région et son climat se sont pas nécessairement propices à un prolongement du temps des sucres. Avec le temps des sucres qui s’amorce, chacun y va de ses prédictions et convient d’un qualificatif pour décrire la saison acéricole à venir.
